En Allemagne puis en France, la famille Schmidt a su déménager, se renouveler et innover pour finalement s’imposer. Dans le 4e épisode de "Marques de Famille", le podcast d'Europe 1 Studio, en partenariat avec Harmonie Mutuelle, Elisabeth Assayag vous raconte l'histoire mouvementée des Cuisines Schmidt et donne la parole à Anne Leitzgen, sa dirigeante actuelle, qui incarne un management où le sens du collectif prime.
Le destin de la Sarre, ce pays de mines de charbon, juste au nord des Vosges, a toujours oscillé entre la France et l’Allemagne, au gré de l’Histoire. Il en a été de même pour le destin de la famille Schmidt. Hubert Schmidt, le patriarche, s’est lancé dès 1934 dans la petite ville de Türkismühle. Mais il a su traverser la frontière pour s’installer à Lièpvre, au sud de Strasbourg, et faire décoller son activité. Surtout, il a su s’adapter aux différentes modes pour construire une entreprise qui est aujourd’hui une multinationale.
Dans le quatrième épisode de "Marques de Famille", le nouveau podcast d'Europe 1 Studio en partenariat avec Harmonie Mutuelle, Elisabeth Assayag raconte l'histoire de cette entreprise qui a dû affronter les remous de l’Histoire. La journaliste, qui coprésente chaque jour La France Bouge sur Europe 1, prolonge ensuite le récit en donnant la parole à Anne Leitzgen, aujourd’hui présidente de Schmidt Groupe.
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Quels personnages ont porté cette entreprise au fil des années, et des modes ? Et comment leurs descendants continuent-ils aujourd’hui à fédérer leurs salariés autour de ce projet commun ? Anne Leitzgen rappelle l’attachement de sa famille à une certaine idée du collectif, matérialisée par la devise maison "Être les meilleurs, respecter chacun, réussir ensemble". Schmidt Groupe organise ainsi pour ses collaborateurs les "Be Schmidt Days" où chacun vient exposer des projets d’initiatives à mener ensemble pour améliorer la qualité de vie au travail. "Notre plus grande richesse, c’est la capacité qu’ont les gens à s’engager, à se mobiliser ensemble. Bien sûr, on peut construire de jolies usines, on peut avoir des magasins sympas… Mais la marque, elle se construit parce qu’il y a des hommes et des femmes qui la développent au quotidien. Le capital humain, c’est la première richesse", insiste Anne Leitzgen.
